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La " Forêt domaniale " - n°6 -

QUELQUES TUMULUS MAL CONNUS OU INEDITS DE CÔTE D'OR
Auteur : Abbé Joseph JOLY, attaché de recherche au C.N.R.S., Professeur d'histoire au petit séminaire de Flavigny sur Ozerain. Extrait de la revue archéologique de l'Est et du Centre-Est. Tome XXIII - Fas. : 3 et 4 .

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LES TUMULUS DE LA FORET DOMANIALE DE FLAVIGNY-SUR-OZERAIN

Depuis longtemps déjà des tumulus avaient été remarqués dans la Forêt domaniale de Flavigny-sur-Ozerain. Leur existence a été signalée par M. de Gail, inspecteur des forêts à Semur, à MM. Collenot, Creuzé et Bréon père et fils, membres de la Société des Sciences historiques et naturelles de la même ville. Ces messieurs, s'étant rendus sur les lieux, repérèrent six tumulus. Des fouilles furent exécutées sous leur direction le 12 novembre 1887 et le 5 juin 1888. Un compte rendu succinct de ces fouilles est donné en appendice à la « Rectification au catalogue de la Collection archéologique du Musée de Semur » publiée par J.-J. Collenot dans le Bulletin de la Société des sciences historiques et naturelles de Semur-en-Auxois pour l'année 1890 (p. 26 et 27).

D'après ce texte, un grand tumulus de 24 m de diamètre sur 2 m de hauteur et un autre plus petit situé à côté ont été successivement ouverts.

Ces tumulus, d'après les observations faites en cours de fouille, étaient « des amas formés de pierres régulièrement entassées et sans vides, ayant la forme de cônes tronqués ». Aucun vestige funéraire n'a été remarqué. Par suite, les fouilleurs n'ont pas jugé bon de poursuivre leurs recherches. Cependant ils ont rejeté l'hypothèse qu'il s'agissait de simples tas d'épierrement. C'était probablement, d'après eux, des monuments commémoratifs. A l'appui de cette idée, ils ajoutent ceci : « Nous ferons remarquer qu'il existe près du troisième tumulus... une sorte d'enceinte circulaire entourée de grosses pierres trouées comme ayant servi de lieu de réunion pour des conseils ou des sacrifices et indiquant que les grosses pierres peuvent avoir servi de sièges aux assistants. »

Depuis l'année 1940, j'ai entrepris l'exploration de la Forêt domaniale de Flavigny et j'ai constaté que de nombreux vestiges antiques (fig. 1) se trouvaient aux alentours d'une dépression très marquée dans la forêt et appelée la Grande Combe (1).

Dans toutes les coupes qui entourent cette combe, courent en tous sens des bourrelets de pierres et de terre parfois interrompus par un passage flanqué de deux pierres dressées plus grandes que les autres. Au voisinage de ces bourrelets apparaissent en plusieurs points des vestiges d'installations gallo-romaines, en particulier dans les coupes 16, 17, 18, 20, 23, 22 et 24, reconnaissables à la grande quantité de tessons de poteries ou de débris de tuiles gisant dans une terre noirâtre au milieu de tas de pierres désordonnés; l'un d'eux a montré qu'il s'agissait de restes de mur. Dans ces ruines, ont été recueillis trois moyens bronzes : l'un de Néron, un autre de Nerva et un autre d'Hadrien.
A l'époque gallo-romaine, il y avait donc autour de la Grande Combe une agglomération rurale du type de celles qui furent découvertes dans la forêt de Coblence et dans les forêts normandes (2).
C'est au voisinage de ces ruines gallo-romaines et entre les bourrelets de pierres et de terre qu'apparaissent des tumulus (3) : 1 dans la coupe 18, 2 dans la coupe 17, 1 près de la laie forestière qui sépare les coupes 4 et 3 au Sud de la Grande Sommière, 3 ou 4 dans la coupe 15, enfin 4 dans la coupe 16 répartis en deux groupes de deux, le premier étant situé assez près de la Grande Sommière, le second beaucoup plus loin; un amas de pierres allongé se trouve à proximité des tumulus de la coupe 15 et un autre à proximité du second groupe de la coupe 16.

Les deux tumulus fouillés par MM. Collenot, Bréon et Creuzé sont ceux de la coupe 17. Le plus grand a été ouvert par une tranchée partant du bord et s'élargissant dans la région centrale. Quelques sondages effectués sur les bords de l'ancienne fouille ont montré que le monument était d'une construction très soignée, avec un dallage en pierres brutes sur le fond, un noyau de pierres sèches bien imbriquées parmi lesquelles plusieurs avaient subi l'action du feu et une couverture de pierrailles mêlées de terre noire avec des pierres plates disposées les unes à côté des autres.
Aucun indice de sépulture n'a été relevé sur la partie centrale de l'aire de base aucune sépulture adventice n'a été reconnue dans la couche de pierrailles mêlées de terre noire, place où elles se trouvent d'habitude (4). L'autre tumulus, de dimensions moindres, a été moins bien fouillé; il était traversé par une tranchée qui ne semblait pas être passée par le centre de la construction ni avoir été poussée assez profondément ; sa structure était semblable à celle de son voisin.

Un curieux ayant commencé une fouille vers la région centrale a recueilli quelques dents humaines; les travaux ne sont pas allés plus loin. Ces deux tumulus ont été arasés, à mon insu, en août 1967 pour empierrer la Grande Sommière; tout espoir d'étude de la sépulture qu'abritait le moins grand est donc perdu. Néanmoins par leur construction ces deux monuments sont très semblables aux tumulus hallstattiens de la région, par exemple à ceux de Combe Barre à Darcey (4); il y a donc une forte probabilité pour que les deux tumulus de la coupe 17 soient eux aussi hallsstattiens, l'un étant probablement un monument commémoratif, l'autre un véritable tombeau.

Le troisième tumulus dont parle Collenot dans la note citée plus haut (5) est le plus grand des deux tumulus de la coupe 16, situés non loin de la Grande Sommière. Il avait extérieurement une forme très régulière en tronc de cône surbaissé couronné par une calotte sphérique, avec 15 m de diamètre à la base et 1,50 m de hauteur ; il était construit de pierrailles entassées sans arrangement avec çà et là quelques pierres plus grosses. La couche superficielle était mêlée de terreau noir, venait ensuite le noyau de pierres sèches qui reposait sur le sol naturel. Il n'y avait pas de pierres dressées sur le bord, ni de pierres ayant subi l'action du feu dans l'appareil du tumulus. Aucune trace de sépulture n'a été observée quoique la fouille se soit très largement étendue dans la région centrale; cependant dans le sol sous-jacent au tumulus dans cette région quelques rares esquilles d'ossements indéterminables voisinaient avec quelques menus tessons disséminés et appartenant à plusieurs types de récipients; toutes ces poteries sont gauloises ou gallo-romaines; un éclat de silex néolithique gisait au même niveau. Un sondage pratiqué dans le sol de la forêt en dehors du tumulus a donné de semblables vestiges. Un petit tumulus était contigu au grand qui vient d'être décrit; il était en forme de calotte sphérique très surbaissée; les pierres qui le constituaient étaient amassées sans ordre; parmi elles se trouvaient une petite plaque de quartz et un fragment de défense de sanglier. Aucune trace de sépulture n'a été repérée. Ces constructions très différentes de celles de la coupe 17 sont gallo-romaines ou postérieures. Elles ressemblent beaucoup aux tumulus gallo-romains qui ont été fouillés sur la montagne de Cras à Genay par le Dr Brulard (6) ; je ne pense pas qu'il s'agisse de simples tas d'épierrement; on conçoit mal en effet que de tels tas aient été faits de façon si régulière au moins extérieurement et localisés en un seul point en deux amas contigus mais bien séparés l'un de l'autre. Leur nature et leur destination nous échappent. Je ne pense pas d'autre part qu'il faille attacher de l'importance aux blocs de pierres trouées situés au voisinage du tumulus; je ne les ai pas trouvés avec la disposition circulaire dont parle Collenot; il me semble que ce sont seulement des blocs laissés sur place lors de l'extraction de pierres trouées dont il existe un banc affleurant en cet endroit ; cette extraction n'est vraisemblablement pas très ancienne (7).

Un second groupe de tumulus, dans la coupe 16, plus éloigné que le précédent de la Grande Sommière, était placé à la naissance de la déclivité qui descend ensuite jusqu'au bord abrupt du plateau ; de ce fait ils avaient un profil dissymétrique dans la direction E-0, la partie la moins grande et la plus haute étant encore sur la partie plane du plateau (partie 0) et le reste (partie E) s'étalant plus largement suivant la pente. L'aire de base elle aussi comportait une partie plane du côté de l'Ouest et une partie déclive du côté de l'Est ; la zone centrale du tumulus correspondait au bord de la partie plane. Ils étaient tous deux construits avec des dalles brutes de dimensions moyennes, bien imbriquées et mêlées de pierres qui avaient subi l'action du feu. Sur les bords quelques dalles plus grandes et moins inclinées que les autres représentaient probablement les éléments d'un « crom-lech » discontinu. Chacun de ces monuments avait des caractères particuliers.

Le premier était situé à une trentaine de mètres de la coupe 19 ; il avait 11 m de diamètre moyen et 0,90 m de haut au-dessus de la partie plane du plateau. Dans sa masse apparaissaient trois niveaux terreux : l'un de terre noire presque au sommet avec une sépulture, un autre de terre noire à peu près à mi-hauteur, enfin un autre de terre jaunâtre au-dessus de l'aire de base, avec plusieurs squelettes ; ces divers niveaux ne se développaient nettement que dans la région centrale du monument.

La première sépulture placée dans le niveau terreux supérieur ne présentait plus que des os brisés en menus morceaux. La tête était à peu près au centre du tumulus; l'orientation du corps qui semble avoir été allongé était sensiblement E-0 ; il s'agissait vraisemblablement d'un individu âgé. Quelques débris de tuiles ou d'amphores gallo-romaines ont été trouvés du côté des pieds, mais la proximité d'installations gallo-romaines et le fait qu'ils étaient presque en surface ne permettent pas d'établir une relation chronologique entre eux et le squelette.

Une seconde sépulture, la principale, gisait vers la base du tumulus. Dans les autres monuments, l'aire de base était garnie d'un pavage plus ou moins grossier ; ici elle était surélevée de pierres imbriquées mêlées de terre jaunâtre dans laquelle les ossements étaient plus ou moins enfoncés. Le squelette était celui d'une vieille femme, étendue dans la direction Nord-Sud (tête au Sud), couchée sur le côté gauche, les jambes à demi fléchies, les bras allongés le long du corps ; la taille était approximativement de 1,75 m. Cette femme portait à chaque poignet un bracelet ouvert fait d'un mince et large ruban de bronze légèrement incurvé vers l'intérieur (fig. 2) ; le bracelet droit était formé d'un ruban de 18,9 cm de long pour 22,6 à 26,3 mm de large ; quant au bracelet gauche, son ruban avait 18 cm de long pour 18 à 24,3 mm de large ; l'épaisseur commune aux deux objets était de 0,9 à 1 mm. Le ruban un peu plus large au milieu de sa longueur présente là en haut et en bas un sillon rectiligne suivant la longueur et limitant dans cette partie du bracelet une zone de largeur égale à celle du reste. L'ornementation consiste en stries tracées à la pointe et disposées de la façon suivante : deux séries de 3 stries verticales et parallèles limitent un rectangle où 5 stries sont tracées parallèlement à la direction d'une diagonale et où 5 autres stries dirigées suivant l'autre diagonale viennent de part et d'autre buter sur les stries précédentes sans les traverser ; ce motif se répète 4 fois sur le pourtour ; 3 stries verticales occupent chacune des extrémités. Le bracelet du poignet gauche a ceci de particulier, qu'il a été brisé et a subi une réparation ; deux trous ont été pratiqués de chaque côté de la brisure probablement pour y passer des attaches non métalliques, mais, le bracelet étant ouvert, l'extrémité du morceau réparé était flottante ; alors un trou a été percé vers chaque extrémité du ruban pour les attacher ensemble.

Autour du squelette précédent étaient dispersés des ossements d'animaux parmi lesquels étaient identifiables des canines de gros chien, des incisives et des canines de porc ou de sanglier et une incisive de petit ruminant.

D'autres restes humains voisinaient avec ceux de la femme aux bracelets ; ces restes étaient très fragmentaires et peu nombreux. Il semble cependant qu'il y ait eu un squelette d'individu allongé Est-Ouest, tête à l'Ouest, et dont les jambes arrivaient un peu au-dessous des genoux de la femme. De plus, un os qui paraît être un humérus d'un individu très jeune était près des tibias de celle-ci. Ces vestiges sont peut-être ceux d'inhumations antérieures à celle de la femme aux bracelets ; les pierres imbriquées disposées sous le squelette de celle-ci étaient peut-être liées à ces inhumations.

Le deuxième tumulus, situé à une quinzaine de mètres du précédent en direction de la coupe 15, avait 13 m de diamètre moyen et 1,10 m de haut au-dessus de la partie plane du plateau ; il était donc plus grand que son voisin et avait belle apparence ; il était construit de la même façon, mais sans niveaux terreux dans la masse. Aucune sépulture n'a été rencontrée ni dans les couches superficielles, ni sur l'aire de base qui cependant a été largement dégagée. Cependant, dans la zone centrale de cette aire, il y avait un véritable cordon de pierres ayant subi l'action d'un feu violent, mais non sur place ; en effet, le sol ne portait pas traces de feu ; à côté de ce cordon au centre du tumulus, se trouvaient des ossements non calcinés et peu nombreux d'un marcassin ou d'un petit porc et une dent de chèvre ou de mouton. Ce tumulus a donc été construit de la même façon et avec les mêmes rites que les tumulus à sépultures : dépôts de pierres passées au feu, offrandes animales ; ce n'était peut-être qu'un monument votif érigé à la mémoire d'un disparu dont le corps n'avait pu être récupéré. Il est curieux de remarquer la similitude entre les deux derniers tumulus qui viennent d'être étudiés et ceux de la coupe 17 : un grand tumulus sans sépulture et un plus petit, situé à l'Ouest, qui en contient.

Tous ces tumulus, le deuxième groupe de la coupe 16 et ceux de la coupe 17, par leur construction soignée de pierres bien imbriquées entremêlées de pierres ayant subi l'action du feu et par toutes les autres caractéristiques de leur structure, sont semblables à tous les tumulus de l'âge du Fer de la région (8). Les bracelets trouvés dans l'une des sépultures le confirment puisqu'ils sont du Hallstatt II de Déchelette.
Dans la coupe 15, aussi éloignés de la Grande Sommière que le groupe de la coupe 16, toujours vers la rupture de pente, existent plusieurs petits tumulus, 4 me semble-t-il, de quelques mètres de diamètre et de 50 à 60 cm de hauteur. Deux d'entre eux ont été sondés ; dans les deux, la construction était aussi soignée que celle des grands tumulus avec des dalles de moyenne grandeur bien imbriquées mêlées de quelques pierres ayant subi l'action du feu ; le premier ne contenait rien de remarquable ; le second a montré dans la région centrale quelques dents et quelques ossements de chien. Ces petits monuments, par leur construction, s'apparentent aux grands monuments hallstattiens, mais leur destination reste encore énigmatique ; il conviendrait d'en poursuivre l'étude.

Quelques autres tas de pierres avaient été repérés dans la coupe 24, au Sud et assez loin de la Grande Sommière. Ils étaient constitués par des pierres irrégulières amassées sans ordre, au milieu desquelles se trouvaient des débris d'ossements d'animaux et quelques tessons de poterie gauloise ou gallo-romaine. Ces tas sont plutôt en liaison avec des habitats détruits qu'avec des sépultures.

La mise en futaie (9) de la coupe 18 et de ses voisines au Sud de la Grande Sommière permirent de découvrir deux autres tumulus, l'un dans la coupe 18, l'autre près de la laie séparant les coupes 4 et 3. Seul a été étudié celui de la coupe 18. Il était en forme de calotte sphérique à peu près régulière, de 11,50 m de diamètre moyen à la base et d'environ 1 m de hauteur. Il avait la structure habituelle des tumulus hallstattiens de la région, en surface une couche de pierrailles mêlées de terre noire, un important noyau de pierres sèches bien imbriquées et mêlées de pierres ayant subi l'action du feu, enfin un dallage grossier avec une terre brunâtre, reposant sur l'argile rouge du sol de la forêt. Sur sa périphérie, des pierres plus grosses et moins inclinées que les autres formaient un « cromlech ». Dans la région centrale, la structure était très perturbée et les pierres autour d'elles manifestaient un plongement très prononcé vers l'intérieur de l'édifice.
Dès le sommet dans la couche de pierrailles et de terre noire apparurent les débris d'un crâne humain avec quelques dents de chèvre ou de mouton. Le squelette ne se poursuivait pas dans cette couche supérieur, mais au fur et à mesure que les zones plus profondes étaient dégagées les autres éléments de ce squelette apparaissaient successivement, si bien que sur l'aire de base ne se trouvaient plus que les débris du bassin avec les jambes croisées. Il est donc clair que le défunt a été déposé dans ce tumulus en position assise avec les jambes croisées en tailleur. Le seul objet qui accompagnait le squelette était un fragment important d'un vase, placé à hauteur de l'épaule (fig. 3); il appartenait à une grande écuelle carénée décorée de deux larges cannelures sous le rebord et dont le fond était vraisemblablement plat et de petit diamètre. Le tumulus comme les autres est de structure hallstat-tienne mais cette fois avec une position très particulière du corps.

Cette petite nécropole méritait d'être décrite dans son ensemble car elle présente des monuments variés quant à leurs dimensions, quant à leur destination et quant leur agencement; c'est d'autre part la seule nécropole hallstattienne du plateau de Flavigny.

1. Je dois ici remercier vivement M. l'Abbé Puisségur qui a très souvent pris part à mes recherches, les élèves du Petit Séminaire de Flavigny qui ont apporté leur aide aux travaux qu'elles nécessitaient et M. J.-P. Thevenot qui a entièrement fait l'iconographie.
2. J. DECHELETTE, Manuel d'Archéologie préhistorique, celtique et gallo--romaine, VI, Archéologie gallo-romaine par A. Grenier, 2e partie: l'Archéo-logie du sol, p. 763 à 773.
3. Un bref exposé sur les recherches concernant quelques-uns de ces tumulus est paru dans le Bulletin de la Société des Sciences Historiques et Naturelles de Semur-en-Auxois, 1948, n° 4, p. 5 et 6.
4. J. JoLy, L'âge du Fer dans le Haut-Auxois. Les tumulus de Combe Barre à Darcey, Mémoires de la Commission des Antiquités de la Côte-d'Or, t. XXIII, 1947-1963, p. 116 à 134.
5. J.-J. COLLENOT, Bulletin de la Société des Sciences Historiques et Natu-relles de Semur-en-Auxois, 1890, p. 26 et 27.
6. R. BRULARD, La Préhistoire de Bourgogne. Note sur Genay (Côte-d'Or), Revue préhistorique illustrée de l'Est de la France, novembre-décembre 1905, p. 69 et 72.
7. Les trois autres tumulus reconnus par Collenot, Bréon et Creuzé ne peuvent être identifiés; je pense néanmoins qu'ils pourraient être le tumulus de la coupe 18 et les deux du second groupe de la coupe 16.
8. J JOLY, Op. Cit.
9. Actuellement, en 1972, cette futaie est en voie de remplacement par une plantation de résineux.

Auteur : Abbé Joseph Joly

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